L’assouplissement des mesures de lutte contre le coronavirus et la réouverture des frontières marquent l’avènement de la « nouvelle normalité ». Après des semaines d’enfermement quasi-volontaire, nous retrouvons en partie la liberté de mouvement à laquelle nous avons renoncé pour préserver notre santé.

La liberté fait partie des besoins fondamentaux de l’être humain qui cherche instinctivement à accomplir des actes qui ont du sens pour lui. Pensons aux bénévoles qui se mettent au service des autres ou luttent pour la préservation de l’environnement, en particulier dans l’Eglise et ses organisations, qui constituent un terreau d’engagement particulièrement fertile.

A l’ère de la « nouvelle normalité », restons fidèles à nos engagements bénévoles que nous avons librement choisis et vivons ainsi concrètement notre foi car « là où l’Esprit du Seigneur est présent, là est la liberté ».

Roland Stach